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Grèce

Blog – 4 jours à Santorin

Après avoir passé deux jours à Athènes, nous nous sommes envolées pour la fameuse île de Santorin.

Santorin se situe dans l’archipel des Cyclades, en mer Egée et appartient à la Grèce. Cet archipel se trouve au sud-est du pays continental et se compose de plus de 250 îles ! Seulement une vingtaine sont habitées. Santorin se trouve au sud de l’archipel. Elle a une forme de croissant.

Pour être plus précise, Santorin est un archipel en elle-même, car elle est composée de plusieurs îles. L’île principale, la plus touristique et habitée, s’appelle Thira. La seconde île s’appelle Thirissia et se trouve à l’ouest de l’île principale. Ce sont les deux seules îles habitées de l’archipel de Santorin.

Il y a plus de 3 000 ans se trouvait à la place de Santorin un volcan. Lors d’une terrible explosion, le volcan s’est effondré sur lui-même, seules sont restées Thira et Thirissia qui sont en fait les bords de l’ancien cratère (caldeira). Pour en savoir plus je vous laisse lire l’article culture qui en parle.

Voilà la description de mes 4 jours sur l’île.

Jour 1 :

Nous avons atterri à Santorin à 7h du matin (le réveil à Athènes à 3h30 du matin a un peu piqué…) après un vol de 50 minutes. Après avoir récupéré nos bagages, nous avons pris un taxi qui nous a amené à notre hôtel. Le course en taxi coûte 40€.

Nous avons séjourné dans le village de Finikia, un authentique village connu pour ses habitations troglodytes. Collé à la ville d’Oia, il donne sur le côté nord-est de l’île, et non sur la caldeira. C’est pour cela qu’il est moins touristique. Il y a plus d’habitations que d’hôtels, contrairement aux villes qui donnent sur le centre de la caldeira.

Arrivées à l’hôtel, nous avons pu poser nos bagages et récupérer la chambre, libre heureusement, pour pouvoir faire une petite sieste matinale avant de repartir.

Nous sommes ensuite parties à pied pour la ville d’Oia – environ 1 km, pour visiter l’un des plus célèbres sites de Santorin (et sûrement l’un des plus photographié !). La ville est tout en longueur et donne donc sur la caldeira, versant ouest.

Rue d’Oia

Mon séjour était en mai, donc toutes mes impressions se font sur cette période. Je précise cela car l’une des impressions que j’ai eu était qu’il n’y avait pas « beaucoup » de touristes. Alors oui, nous n’étions pas les seules sur l’île mais cela n’était pas noir de monde, et nous n’avons jamais eu de « bouchons pédestres » comme certains restaurateurs ont pu nous le décrire.

Nous nous sommes tout d’abord baladé sur la rue principale de la ville. Les rues sont très propres et très bien entretenues.

La vue sur la caldeira est à couper le souffle, et le paysage de la ville aussi. La ville est principalement composée d’hôtel, de restaurants et de magasins. Il y a cependant des grecs qui habitent à l’année, et nous sommes passées devant des écoles. Lorsqu’on se balade sur la rue principale, à notre droite, on peut voir des maisons anciennes grecques qui servent désormais d’hôtels ou de magasins. Cela fait contraste avec tous les hôtels côté gauche qui sont tous récents.

D’oia, vue sur l’île de Thirissia

Malgré cela, Oia est très harmonieuse car la plupart des bâtiments s’accordent et s’imbriquent les uns aux autres et ont tous pour la plupart des murs blancs étincelants. Beaucoup d’hôtels ont des piscines ou jacuzzis, ce qui rajoute une touche de bleu au paysage.

Moulin d’Oia

La balade dans la ville est paisible (encore une fois il n’y avait pas beaucoup de touristes). La plupart des hôtels sont des hôtels de luxe et principalement récents, mais pour garder le côté authentique aucun hôtel n’a été construit en un seul bloc. Ce sont tous des « petites » constructions avec plein de parties bien distinctes, pour s’adapter à la falaise.

La partie la plus ancienne de la ville fait face à Thirissia et domine le petit port de Ammoudi. Pour moi, Oia est la ville la plus belle de l’île. Ce n’est pas pour rien qu’elle est la plus connue, et la plus photographiée.

Après s’être fait une première impression de la ville, nous nous sommes arrêtées manger dans un restaurant parallèle à la rue principale – Kyprida, tenu par un couple franco-chypriote. L’halloumi poêlé en entrée était un délice !

Vers 15h nous avons fait une pause dans notre journée pour nous reposer et pouvoir repartir de plus belle pour la fin de journée. Le réveil à 3h du matin se faisait encore sentir. A 18h nous avons repris le chemin d’Oia. Après avoir traversé toute la ville – bien 30 minutes de bout en bout – nous avons pris le chemin pavé pour descendre au village de pêcheur d’Ammoudi. Il permet une vue en contrebas d’Oia qui est vraiment très jolie.

La pêche du jour, sur le port d’Ammoudi

Nous avons croisé des chevaux et ânes qui remontaient le chemin pavé en lacets ; ils servent à remonter les touristes si la motivation vient à manquer de monter les presque 300 marches plutôt raides.

Arrivées en bas, nous avons longé les restaurants qui se trouvent en front de mer pour faire une petite balade qui part sur la gauche pour rejoindre l’îlot de Saint Nicolas.

Ammoudi et Oia

Nous sommes remontées à pied, cependant il est aussi possible d’arriver à Ammoudi par la route en voiture ou taxi. Si vous n’avez plus de force (ça fait les mollets !), un taxi pourra vous ramener à Oia par la route.

Sur le chemin du retour, nous nous sommes arrêtées pour contempler le coucher de soleil sur la caldeira et la ville.

Avec la lumière du soleil couchant sur la ville, c’était un paysage de carte postale. Vraiment magnifique.

Les couleurs du coucher de soleil sur Oia

Nous avons fini de remonter dans la rue principale, puis avons traversé Oia dans le sens inverse pour retourner à notre village, Finikia. Nous avons mangé dans un des restaurants du village – le Krinaki, où j’ai pu goûter à un plat de pâtes typiques de Santorin, aux crustacés, très bon. Ces petites pâtes en forme de grains de riz s’appellent des « orzo », elles étaient mélangées avec des crevettes, des poulpes et des encornets.

Retour à l’hôtel pour faire une bonne nuit.

Jour 2 :

Réveil à 8h30 et petit déjeuner sur la terrasse de notre chambre avec vue sur la mer. Il faut noter qu’il a fait beau tout au long de notre séjour. Cependant, l’île est assez venteuse, donc même si nous avons pu prendre nos petits déjeuners sur la terrasse, il fallait tout de même un petit gilet. Après s’être préparées, nous sommes repartis à l’entrée d’Oia pour récupérer le début du chemin de randonnée qui rejoint la capitale de l’île – Fira.

Oia

Cette randonnée s’étend entre les deux villes sur 10kms. Nous avons mis en tout 3h30 pour aller d’un point à l’autre, en nous arrêtant en chemin pour manger un rapide pique-nique et prendre pas mal de photos. Le chemin était assez fréquenté, mais ça ne nous a aucunement dérangé pour profiter de la randonnée et des paysages.

Vue sur Oia, au départ de la randonnée

Dans les guides touristiques, cette randonnée est fréquemment proposée dans le sens Fira/Oia pour pouvoir admirer le coucher du soleil à Oia en fin de journée, et c’est vrai qu’il m’a semblé que plus de personnes faisaient le chemin dans ce sens plutôt que dans le nôtre. Nous l’avons fait dans le sens inverse et je dirais que ça grimpe plus dans ce sens. La plupart de la rando se déroule sur des chemins caillouteux, mais il y a cependant une petite partie qui doit être faite sur la route où passe les voitures.

La partie entre Oia jusqu’à la route n’est que nature et végétation. Passé le petit bout de route, on grimpe encore entre roche volcanique et buissons. Mais après cette partie on arrive au village d’Imerovigli où l’on ne longe plus qu’hôtels de luxe et restaurants. A Imerovigli il est possible de rallonger la randonnée d’une heure pour aller au rocher de Skaros, qui s’avance dans la mer. Nous l’avons juste observé de loin et avons continué notre route.

Skaros et Imerovigli

Bien penser à prendre la crème solaire pour faire la balade car il n’y a aucune partie d’ombre.

Arrivée à Fira, on s’est retrouvées dans une foule de touristes ! Sûrement un aperçu de ce qu’est Santorin en plein mois d’été. Ça nous a fait tout drôle car même à Oia, nous n’avons jamais eu autant de monde. La ville est plutôt grande, on retrouve les ruelles typiques grecques ainsi que les hôtels perchés sur le côté intérieur de la caldeira. Il y a de nombreux magasins de souvenirs, de vêtements, bijoux, restaurants… La ville est très animée.

Nous voulions faire un musée mais il était déjà fermé…

Nous avons vu deux gros bateaux de croisière, et de ce qu’on nous a dit c’est pour ça que la ville était bien agitée. Il y a la possibilité de vérifier quand arrivent les bateaux de croisière et faire en fonction pour les visites des villes, si vous ne souhaitez pas être embêté par la foule. Un port se trouve en contrebas de Fira, là où débarque les croisiéristes. Soit on grimpe à pieds les 500 et quelques marches, soit on prend les mulets ou un télécabine. C’est en fonction de la motivation !

Retour à Oia en prenant le bus. On a mangé au restaurant Skala, avec une vue imprenable sur le coucher du soleil et la mer.

Jour 3 :

Pour ce troisième jour nous avions décidé d’aller explorer le sud de l’île. Et c’est tout en bus que nous avons pu découvrir la seconde partie de l’île. Jusqu’à présent nous avions tout fait à pieds et étions restées au nord.

Pour se déplacer sur l’île il existe de nombreux moyens : à pied bien sûr, mais aussi en voiture, en scooter ou en quad. Et enfin en bus. Le réseau de bus est bien développé. L’arrêt principal et central est celui de la capitale, Fira. C’est à partir de cette ville qu’on peut se déplacer aux quatre coins de Santorin. Le réseau est fait en étoile : c’est-à-dire que si vous partez de Oia (comme nous) pour aller par exemple à Perissa – au sud, il faudra forcément passer par Fira et changer de bus. Mais les lignes sont régulières et le prix d’un trajet est correct : 1,60€, quel que soit la destination. Les fiches d’horaires sont parfois pas très compréhensibles, mais on s’y retrouve vite.

Nous sommes donc parties d’Oia jusqu’à Fira pour attraper un des bus qui va vers le sud de l’île.

Mais nous avons d’abord fait une halte culturelle à Fira pour visiter le musée préhistorique de Théra – celui que nous avions loupé la veille car il fermait trop tôt. L’entrée coûte 6€ et il se situe juste à côté de la gare de bus. Le musée présente des objets retrouvés à Akrotiri, la ville de l’ancienne civilisation de Santorin, anéantie lors de l’explosion du volcan.

Nous avons ensuite pris le bus direction la ville d’Akrotiri, au sud-ouest de l’île pour aller sur la plus célèbre plage de l’île : la Red Beach. La plage se situe à 10 minutes à pied de là où nous pose le bus. Il descend jusqu’au front de mer donc c’est très pratique. Juste à côté il y a d’ailleurs le site archéologique de la ville, mais nous ne nous y sommes pas arrêtées. Il faut longer la côte, puis passer le parking de la plage, et enfin marcher pendant 5-10 minutes pour atteindre la plage.

La RedBeach vue du sentier pour y accéder

Ce sont des pierres et du sable volcanique qu’on retrouve sur la plage ainsi que sur les falaises – de couleur rouge – qui la domine. Deux panneaux nous indiquent consécutivement que le chemin pour y accéder n’est pas sans danger et qu’il est même recommander de ne pas dépasser le point de vue par lequel on arrive du parking. Des roches peuvent tomber des parois. On voit d’ailleurs que plusieurs éboulements ont eu lieu.

Le paysage de la plage est assez impressionnant, on voit bien la roche volcanique, les différentes pierres et les couches de lave qui ont pu se former.

Il y avait pas mal de monde lorsque nous y étions, sur la plage mais moins dans l’eau. La mer était encore froide et il y avait peu de courageux. Pour ma part je n’ai trempé que les jambes… Pas plus !

Nous avons mangé vers 15h des petits mezzes, notamment du calamar frit au restaurant The Dolphins en front de mer avant de remonter dans le bus pour se rendre à l’étape suivante de notre journée.

Nous sommes descendues à Megalochori pour récupérer un autre bus qui nous a emmené au village d’Emborio. Il se situe dans les terres. Après Oia, je pense qu’Emborio a été mon village préféré de l’île. Ses petites ruelles dans l’ancienne ville médiévale sont belles, parfois très étroite et cela a un énorme charme. Emborio est aussi connu pour sa succession de moulin à vent se trouvant sur la colline qui domine le village. Nous ne les avons cependant observé que de loin et avons continué notre périple.

Les maisons et ruelles d’Emborio

Ensuite, nous nous sommes arrêtés au village de Pyrgos, toujours dans les terres de Santorin. Ce fut notre dernier stop de la journée. Le village est lui aussi très joli, avec quelques boutiques de souvenirs d’art grecque. Il y a une ancienne citadelle vénitienne qui donne un point de vue extraordinaire.

Le coucher de soleil vu d’Oia est le plus connu et est à faire, cependant si vous avez l’occasion d’aller à Pyrgos, le point de vue pour le coucher de soleil vaut le détour et vaut celui d’Oia. Après cela, nous avons attendu de nouveau le bus pour nous ramener chez nous et terminer la journée.

La vue sur tout le nord de l’île, du château de Pyrgos

L’enchainement des bus (7 au total !) s’est fait sans encombre… Jusqu’à celui-là que nous avons attendu plus d’une heure. Une fois rentrée à Fira, nous avons repris le dernier bus qui nous a ramené chez nous.

Résumé du parcours de la journée :

Oia (départ) à Fira (visite) à Akrotiri/Red Beach (visite) àMegalochori (transit) àEmborio (visite) à Pyrgos (visite) à Fira (transit) à Oia (retour).

Jour 4 :

Nous avons pris notre temps pour nous lever, profiter de notre dernier petit déjeuner sur la terrasse de la chambre, au soleil et toujours au vent. Après s’être préparées, on s’est dirigé de nouveau du côté d’Oia. Nous avons d’abord fait un stop pour acheter des timbres pour toutes les cartes postales achetées pour nos proches.

Dans Oia, on a pris la rue principale mais sans s’arrêter cette fois-ci, car le programme de la journée était d’aller visiter la deuxième île habitée de l’archipel : Thirissia.

Cette île se situe à l’ouest de l’île principale (Thira) et ne compte que 150 habitants ! Si vous voulez un moment nature et tranquille pendant votre séjour à Santorin, c’est l’endroit où se rendre !

Vue sur la caldeira & le monastère, depuis l’île de Thirissia

Il y a 3 horaires de bateau par jour (du moins en mai, cela augmente peut-être pendant l’été). La première est à 8h, la deuxième à 12h30 et la dernière à 17h30. Nous avons pris le bateau de 12h30. Le départ se fait du port d’Ammoudi, qui se trouve en contrebas d’Oia. C’est pour cela que nous avons de nouveau traversé toute la ville d’Oia, puis descendu toutes les marches jusqu’au port. Cette fois-ci, je les ai comptées et il y a environ 230 marches pour s’y rendre, (13 minutes chrono en main, que ce soit pour descendre ou remonter !).

La traversée s’effectue en 15 minutes, et coûte seulement 1€ par personne. Il y a deux ports à Thirissia, je vous conseille de descendre au premier port – Riva, car un bus gratuit peut vous emmener jusqu’au village principal de l’île.

Avec notre chance, ce jour-ci il n’y avait pas de bus car le chauffeur était malade… Et aucune alternative possible ! Un loueur de vélo (le seul de l’île d’ailleurs, très gentil) qui attendait un groupe de touristes qui avaient pris le même bateau que nous, nous a proposé de nous monter jusqu’au village (pour 5€). Sa femme était avec lui et ils nous ont raconté plusieurs choses à propos de l’île.

C’est aussi eux qui nous ont expliqué qu’il y avait eu des cas de Covid sur l’île, c’est pourquoi il n’y avait pas de chauffeur de bus ce jour-là et que tous les restaurants (sauf les bars du deuxième port) étaient tous fermés. On a bien choisi notre jour !

On a pu prendre un petit feuilleté aux épinards et à la féta à la boulangerie (la seule), pour ensuite partir faire la balade que nous avions prévu.

Elle démarre du village, pour finir au monastère qui se trouve à l’extrême sud de Thirissia.

On ne peut pas vraiment se tromper de route, car il n’y en pas 36. Au début de la balade, on passe d’ailleurs devant le magasin de vélo de l’homme qui nous a emmené au village. En prenant notre temps et en nous arrêtant manger, nous avons mis en tout 2h. Elle est longue de 5 kms de long et est accessible pour tous. Nous étions vraiment en pleine nature, loin de la foule qu’on a pu trouver à Fira par exemple.

Le monastère est vraiment beau, avec son dôme bleu, ses façades blanches et sa vue magnifique sur la caldeira et la mer Egée. Après la vue d’Oia, de Fira, et du sud de l’île, cela donne un nouvel angle pour le point de vue.

Le monastère de Thirissia

Retour au village de Manolas, que nous avons traversé dans toute sa longueur. Quand nous y étions il était totalement désert, et pour être franche sans grand intérêt. L’expression « il n’y a pas un chat » ne peut cependant pas être appliquée car il y en avait des dizaines sur notre chemin, qui faisaient pour la plupart la sieste à l’ombre.

Pour revenir à Ammoudi et Oia, je vous conseille d’aller prendre le bateau au second port de l’île – Koros, le plus grand.

La descente commence dans le village, au niveau du restaurant Panorama. Elle est très raide, et très longue, nous avons bien mis plus de 30 minutes pour arriver en bas (et perdu deux genoux pour ma part). Vu la pente, je vous conseille de descendre au premier port en arrivant et ainsi profiter du bus gratuit, et reprendre le bateau au second port.

Pour visiter cette île, seule une demi-journée est suffisante. Vous pouvez néanmoins y rester dormir, ou passer une journée entière et louer des vélos électriques.

Vue du bateau sur le retour de Thirissia

Attention à ne pas louper le dernier bateau à 17h, sinon vous resterez bloqué sur l’île pour la nuit ! Au retour à Oia, nous avons fait tous (presque) les magasins de souvenirs de la rue principale.

Il était environ 17h30 et nous y sommes restées jusqu’à 20h pour boire un cocktail et avoir une dernière vue du paysage. Ce soir-là il n’y avait absolument personne dans la rue. On était très tranquilles pour profiter de la ville et de la vue.

Nous avons de nouveau diné dans le restaurant de notre village où j’avais mangé le plat de pâtes aux crustacés – le Krinaki. J’ai d’ailleurs repris le même plat tellement je l’avais aimé.

Retour à l’hôtel pour la dernière soirée à Santorin.

Jour 5 :

Le départ a sonné, il est temps de rentrer. Les bagages ont été fermés la veille, car l’heure de départ est aussi matinale que l’heure d’arrivée sur l’île.

Direction l’aéroport, escale à Athènes et retour en France.

Commentaires

Laura Cormier
18 mai 2022 à 13 h 23 min

Vraiment trop beau!!



Thomas
18 mai 2022 à 19 h 04 min

Un article magnifique qui me fait voyager pendant mon retour en bus 🙂
Pensez bien à la crème solaire pour les fronts bombés 😁



rapaud
2 juin 2022 à 21 h 13 min

Cela donne envie ! Très belle description avec les émotions qui les accompagnent ! bravo



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